Eux-mêmes constitués pour partie de matériaux minéraux (tableau de bord, etc.), tous les transports en commun circulent en empruntant des voiries réalisées à partir de matériaux dérivés de la pierre.
Sur des voies en site propre ou dans le flot de la circulation automobile, les bus roulent sur l’asphalte, fait d’un mélange de bitume et de granulats, matériaux produits à partir de roches elles-mêmes extraites de carrières de proximité.
Comme les voies ferrées qui supportent les trains de voyageurs ou de marchandises, les rails du tramway reposent sur un ballast constitué de pierres ou de graviers, eux-aussi issus des carrières environnantes.
De même, le métro circule sur des voies ferrées reposant sur un lit de pierres ou de gravier, et évolue sous des tunnels constitués en très grande majorité de bétons de différentes constitutions (fibré, extrudé…)
Par ailleurs, cette omniprésence de la pierre dans la sphère transports en commun se retrouve aux niveaux des pistes cyclables, autre mode de transport dit « doux ». En effet, les vélos circulent le plus souvent sur des revêtements bitumés qui coiffent des sous-couches réalisées à l’aide de granulats de différents calibres.